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COMMENTAIRES
Un film psychologiquement parlant qui définit sur la jeunesse, sur la découverte de l'adolescence dans les bas fonds de l'Amérique et surtout sur la découverte du monde du skate, assoiffant de liberté et de sensation forte. Voila comment je définirai ce type de film.
Le personnage de Stevie est psychologiquement bien retranscrit, tout comme la bande, ont s'attache facilement à eux, on suit leur péripétie, leur moment de galère, leur joie de vivre et leur remords. L'évolution de Stevie montre toute fois que même dans une situation comme celle là dans les bas fonds, elle peut te faire changer et à te faire devenir quelqu'un d'autre et que parfois ça peut ce retourner contre toi par moment sans le vouloir. Jonah Hill à fait un sacré beau boulot pour un premier film, il peut avoir des chances d'être un réalisateur aussi talentueux que bon acteur, en tout cas pour ça première réalisation, il à gérer d'enfer. J'ai trouver ça délire qu'il est décider de faire son film en format 4:3 avec une caméra qui date des années 90, ce qui lui donne du charme, car le film se base sur cette époque révolu, j'avais presque l'impression de regarder vraiment un film de cette décennie, moi qui est fière d'être né à cet époque, les choses été plus évident et plus simple comparé à aujourd'hui et puis j'ai trouvé pas mal de clin d'oeil et de référence nostalgique de cette décennie inoubliable.
Ce film était excellent jusqu'au bout, j'ai trouvé ça bien qu'il est terminer le film avec les souvenirs enregistrer avec le caméscope, car dans la vie même si le monde peut paraître des fois m*******, il faut toujours s'accrocher aux bons moments et aux bons souvenirs, car c'est ce qu'il nous rend humains avant tout et de ne pas céder aux chantage et aux mal être de ce système.
4,5/5 un jour il fera parti de ma dvdthèque
On connait tous Jonah Hill en tant qu'acteur dans des comédies américaines. Ici, il endosse la double-casquette de réalisateur et de scénariste pour son premier long métrage. Ce dernier fut une agréable surprise. Pas d'humour graveleux mais une chronique sociale autour du quotidien d'un jeune garçon dans un quartier pauvre américain durant les années 90. La période choisie, la photographie et les thématiques abordées m'ont d'ailleurs beaucoup fait penser au cinéma de Larry Clark en plus soft. Il n'empêche que cette histoire d'un jeune en perte de repère est très touchante, riche en émotions et techniquement maîtrisée.
Jonah signe un beau film d'apprentissage que je conseille sans hésitation.
Très léger, j'étais pas motivé a regarder un film ce soir, mais j'ai plongé quand même... a voir vraiment cool comme film. 3,5/5 pour moi
L'histoire de ce film est déjà vue, mais le jeu d'acteurs et la comédie font qu'on passe un très bon moment.
4/5.
Un bon film. Les années 90 sont parfaitement retranscrites, sans en faire trop. Tout est glissé dans le décors, on est pas à balancer pleins de clin d'oeils façon Strangers Things avec les années 80. Du coup on y croit, et on prend plaisir à replonger dans cette époque.
La réalisation est très axée cinéma indépendant américain. J'ai été plusieurs fois à Deauville, et j'ai vu pas mal de films qui ne sortiront jamais nulle part (dont des biens nuls) qui avaient exactement la même réalisation et le même grain d'image. C'est vraiment typé cinéma américain indépendant, assez dur de juger du coup la valeur de Hill en réalisateur. Il y a de beaux plans, mais pas trouvé de patte particulière non plus. Sa patte réside plus dans l'écriture, et la reconstitution assez naturelle des années 90.
L'histoire en elle-même est sympa mais manque d'un quelque chose pour tirer le film encore plus haut. Les personnages sont malgré tout très attachants et ce récit initiatique se regarde tout seul. La musique de Reznor est magnifique. Franchement, elle tire totalement des plans vers le haut. J'adore ce compositeur et cette touche de subtilité qu'il ajoute aux projets. C'est beau, ça insuffle tout de suite de l'émotion.
En tout cas un premier film encourageant, dans un registre où on attendait pas forcément Jonah Hill. Pas forcément un film que je reverrais beaucoup de fois, mais n'en reste pas moins un bon moment.
une film simple , mais qui glisse tout seul . on ce laisse prendre par ce scénario , ici pas de fx , ou de l'action a gogo , mais juste une bonne histoire .
note : 4 / 5
L'archétype même du jeune film d'auteur américain Sundance-compatible. On a l'impression d'avoir déjà vu ça 10 fois. Au moins, il n'a pas la prétention de vouloir révolutionner quoique ce soit et n'est pas plombé par des prises de positions politiques comme il est devenu de bon ton de le faire avec tout et n'importe quoi. C'est un petit film inoffensif, plein de bon sentiments, qui se laisse voir pendant le court temps qu'il dure mais qui ne marque pas vraiment les esprits et n'a pas vocation à le faire...
Vraiment excellent. L'ambiance 90's ressort vraiment à l'image. Les acteurs sont très naturel. Une première réalisation réussie pour Jonah Hill.
Petite précision, dans les anecdotes, il est dis que GZA est un groupe, mais c'est une personne qui fait parti d'un groupe, a savoir le Wu Tang.
Un vent de fraîcheur souffle sur ce film qui, grâce à la légèreté séduisante de ses interprètes, de moyen en devient bon.
A mi-chemin entre naturalisme et nostalgie teintée de fantasmes, Jonah Hill nous propose un portrait de jeunesse juste et sincère, à la croisée entre Linklater et Larry Clark. Un premier film réussi ! Critique ici pour les curieux : http://thelastpictureshow.o...
Passage réussi derrière la caméra pour Jonah Hill avec 90's !
On vous explique pourquoi : https://justaword.fr/90s-e4... !
Top film 👍🏼👍🏼👍🏼
Vraiment une réussite !
Les personnages sont vrais et attachants
La bande son est cool
J'ai passé un très bon moment
Un de mes gros coup de cœur de cette moitié d'année. Skate, Playstation, Nike Air... han la la les années 90 😍
Jonah Hill s'en sort plutôt bien pour sa 1ère réalisation. Attachant, mais pas non plus révolutionnaire.
Dans le film lors d I. E soirée enfin le lendemain au nettoyage o. Voit le parterre jonché de gobelet rouge.... Qu on a d abord vu dans les soirées étudiantes et compagnie US puis depuis ptete 10 ans ils en ont souvent au lieu de verre en verre remplacé par les même (en boîte...). Mais a l époque il y en avait déjà ???? Lol
Et il va sortir au ciné avec déjà plus d une centaine d AVP de prévu.. Mais pour la suite je ne sais pas vu qu il est déjà dispo si cela ne va pas y jouer des tours. En oubliant toutefois le million et même le demi million. Xd
un bon petit film sans prétention, pas forcément de message ou de morale à rechercher.
Jonah hill nous fait simplement rentrer dans l'adolescence et ses rituels dans une sphère populaire américaine; le tout dans le monde du skate et de la rue.
Un film qui apportera satisfaction au amateurs de skateboard, nostalgiques des 90's et aficionados des films sur l'Enfance!
Un pré-adolescent qui fait la connaissance d'une bande d'adolescents.....réalisation minimaliste...2 étoiles et demie....!!!!
3/5
Un film sur l'adolescence et sa merveilleuse insouciance.
Le tout, dans les 90's mes années d’adolescence, sur fond de skatouz.
Alors rien que pour tout ça je met un 3, pour cette douce et vieille légèreté :)
une variation du passage à l'adolescence avec toutes ses découvertes. sur fond de skate, d'un grand frère tyrannique, un portrait en demi teinte, sur un scénario inabouti. une petite production, sans conclusion, qui n'apporte guère d'intérêt.
Pour son premier film, Jonah Hill revisite une période qui lui est chère : les 90's !
En prenant place au milieu des années 90 dans un Los Angeles voyant l'émergence du skateboard et d'un certain age d'or du rap via MTV, Jonah Hill pousse le vice en proposant un format 16/9 et un aspect granuleux sous forme de fenêtre directe sur cette époque.
Et c'est là la grande force du film, qui transpire l'authenticité et la sincérité, en nous montrant les tranches de vie de Stevie, jeune garçon de 13 ans incarné par un très bon Sunny Suljic (qu'on a vu chez Yorgos Lanthimos ou en Atreus dans God of War !), martyrisé par son grand frère à la maison (Lucas Hedges, la révélation de Manchester by the Sea).
Tout au long de ce récit initiatique, nous le verront face à ses propres insécurités et questionnements sur la manière de se faire des amis, apprendre à vivre dans un groupe et s'y intégré pour grandir individuellement.
Si l'on échappe à des passages obligés de coming-of-age story inhérents au genre (première beuverie, première expérience sexuelle et affirmation identitaire entre autre), le tout est effectué via une simplicité et un naturel qui ne laisse pas indifférent, Jonah Hill apportant évidemment son lot d'éléments autobiographiques.
Cela se traduit par un réel ancrage temporel, tant au niveau des références vidéoludiques à la Street Fight II que des produits alimentaires d'époque et surtout la bande-son convoquant A Tribe Called Quest, le Wu-Tang Clan, les Black Keys ou encore les Pixies.Bref, un vrai bonheur pour les oreilles, sublimés par le score de Trent Reznor & Atticus Ross se faisant entendre à des moments clés pour un vrai résultat atmosphérique !
Si le tout méritait plus d'émotion et un traitement plus en profondeur jusqu'au-boutiste, Mid90's est une vraie bonne réussite au format court, dotée d'un solide casting d'inconnus et qui transpire la nostalgie, en plus de placer Jonah Hill comme un réalisateur prometteur !
3.5/5
Vu ce soir à Montréal au cinéma! Excellent premier film de Jonah Hill. Étant né au début des années 90, j’ai pu parfois me retrouver dans les yeux de cet enfant. Nous sommes immergés dès le début du film dans la découverte de facettes supplémentaires que peut offrir la vie à travers l’histoire d’un jeune qui cherche un autre quotidien que celui que lui propose sa petite famille. Dès l’instant où il rencontre son nouveau groupe d’amis tous pourvus d’une éducation relativement différente, plusieurs thèmes liés à l’adolescence sont immédiatement mis en avant : la confiance en soi, l’apprentissage des autres, l’évolution des relations amicales, l’acceptation d’autrui, les excès, la désobéissance etc. Autant de sujets traités avec humour, authenticité et légèreté dans un format relativement court qui nous donne envie d’en savoir davantage sur cette jeune bande de skaters californiens. A voir. A découvrir.
Apparemment il est excellent!Mais pas de sortie en france...Par contre on a Alad 2 au cinéma...
★★★☆ Un récit initiatique touchant (…) l’innocence teintée d’inconscience, façon Larry Clark (le côté putassier en moins).